A Pont-Péan (Ille-et-Vilaine) les maisons sont fragilisées comme aucune autre en Bretagne. Des périodes de pluie combinées à de fortes sécheresses font craquer les maisons. Michel Pagès, victime de la catastrophe naturelle, a remarqué les premières failles le mois dernier. Il estime les dégâts à 70 000 euros et espère que son assurance prendra en charge une partie du coût des travaux.