Mash exploite la couture du scooter électrique grâce aux E-City 2.0 et 4.0.

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Chacun veut sa part du gâteau. On fait référence au juteux marché des trottinettes électriques en pleine expansion dans toutes les grandes villes de France (+38%). De plus en plus de communes en France et en Europe doivent faciliter la circulation de ce type de véhicules et bloquer de plus en plus l’accès aux moteurs thermiques. De ce fait, on peut voir certaines marques comme Silence afficher des taux de conversion incroyables (+400% en 2022 par rapport à 2021). Alors des marques comme Masha, qui s’étaient déjà distinguées en milieu urbain avec leurs petites motos 125, ont jugé judicieux d’offrir une alternative « eco-friendly » à leurs clients avec les E-City 2.0 et 4.0. Pour atteindre l’objectif le plus élevé possible, le 2.0 est l’équivalent de 50cc (donc ne peut être piloté qu’avec le BSR) et le 4.0 est considéré comme 125cc.

Afin de proposer ces modèles à ses clients, Mash s’est appuyé sur les modèles d’une marque déjà existante : les S4 et S5 de Lvengo. Cette marque chinoise s’appuie sur la base technique d’un certain Niu qui lui-même s’approvisionne depuis l’usine de Yadea. Il suffit de voir : selon ces 3 constructeurs, on constate que seuls la sellerie et les planches de bord changent. Le reste est similaire. Regardez les bras oscillants ou les moteurs Bosch par exemple : vous verrez que ce sont les mêmes.

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