Avez-vous mal au dos? Attention, cela peut être un signe de cancer

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Si vous avez des douleurs persistantes dans le dos, vous devriez dans le doute aller consulter votre médecin généraliste. Cela pourrait être le signe d’un cancer du col de l’utérus.

Comme beaucoup de gens le disent, le mal de dos est la maladie du 21ème siècle. Ces maux sont souvent causés par une mauvaise posture ou un effort inconsidéré, mais parfois ils peuvent être causés par une maladie plus grave. Selon de nombreux experts, les douleurs lombaires peuvent également être un signe de cancer du col de l’utérus. Douleur juste dans le bas du dos.

Ce cancer, qui survient chaque année chez près de 3 000 femmes en France, se reconnaît aussi à trois autres signes. Par conséquent, si des saignements anormaux se produisent dans les organes génitaux, si des douleurs surviennent pendant les rapports sexuels ou s’il y a un changement dans les pertes vaginales, il est fortement recommandé de consulter un professionnel de la santé.

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Faites un frottis régulièrement

Pour rappel, l’un des meilleurs moyens de se protéger contre le cancer du col de l’utérus est d’avoir des frottis de Pap réguliers. « Un test de frottis cervical vérifie si votre col de l’utérus est infecté par le VPH (virus du papillome humain) », a déclaré le Dr Radhika Vohra, médecin généraliste au Spire Gatwick Park Hospital, dont les propos ont été rapportés par Sun. Et d’ajouter : « Si HPV est détecté, les cellules collectées lors du test seront examinées au microscope pour vérifier d’éventuelles modifications anormales de leur apparence afin d’éliminer ces cellules ».

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Chaque année en France, environ 1 000 femmes meurent du cancer du col de l’utérus. Comme le rappelle l’Assurance maladie, le vaccin contre le papillomavirus (HPV) permet de prévenir les infections à papillomavirus les plus courantes, responsables, chez la femme, de 70 à 90 % des cancers du col de l’utérus. Mais attention car le vaccin ne protège pas de tous les cancers du col de l’utérus ni de toutes les lésions précancéreuses. Ainsi, même après la vaccination, les femmes doivent être examinées régulièrement.

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