1/ Induction, vitrocéramique, gaz… j’évalue les atouts des plaques de cuisson à l’achat et après

Bien choisir sa cuisinière : le prix de la cuisinière à induction a baissé. Considérez cette option si vous avez besoin de vous équiper. Pour un écart de prix d’achat moindre qu’auparavant, cette technologie vous permettra de consommer 30% d’électricité en moins que les plaques vitrocéramiques (et 50% de moins que les plaques classiques).
Avantages : montée en température très rapide, arrêt immédiat et déconnexion instantanée sans présence de prise.
Inconvénient : vous devrez peut-être remplacer certains de vos ustensiles de cuisine (ne fonctionne qu’avec du métal magnétique, donc pas de l’aluminium). Cependant, vous pouvez résoudre le problème en vous équipant d’un adaptateur à induction avec une poignée, un accessoire en métal à glisser sous la marmite qui transmet la chaleur entre votre plaque et votre assiette.
A lire aussi : Choix des casseroles, Comment cuisiner… 5 gestes simples pour économiser de l’énergie lors de la cuisson
Mais le gaz naturel (si vous vous raccordez au gaz de ville) reste moins cher que l’électricité, même si l’écart de prix se réduit. Ainsi, une plaque équipée d’un brûleur à gaz sera moins chère en consommation annuelle, mais nécessitera un peu plus d’entretien (notamment nettoyage régulier des brûleurs, remplacement des durites au bout de 10 ans, etc.). Cependant, vous pouvez opter pour un tuyau en acier inoxydable durable, plus cher à l’achat… mais garanti à vie !
Droit, santé, argent, culture, loisirs… Et si vous receviez chaque mois chez vous le magazine Notre Temps pour ne manquer aucune information qui vous concerne ?

 ;
2/ Je choisis un four à classe A

Voir les offres d’abonnement
La consommation d’un four conventionnel varie entre 0,7 et 1 kilowattheure (kWh), pour un total d’environ 130 kWh par an. Une moyenne de 3 heures d’utilisation d’électricité par semaine coûtera environ 25 € par an.
La facture est moindre pour les fours à gaz, mais le prix de ce combustible augmente plus vite. Et la facture peut augmenter significativement pour l’amateur de cookies qui l’utilise au quotidien. Lors de l’achat, choisissez si possible un équipement classé A pour la consommation d’énergie.
3/ J’applique quelques astuces pour réduire la consommation du four

A lire aussi : Comment aménager une cuisine fonctionnelle et confortable
Lors de l’utilisation, quelques gestes simples sont suggérés pour réduire la consommation de votre four :
– limiter le préchauffage à 10 minutes ;
– commencer la pyrolyse après cuisson ;
– vérifier régulièrement l’état des joints de porte ;
– selon la recette, vous pouvez également éteindre brièvement le four avant la fin de la cuisson.
4/ J’opte pour un réfrigérateur peu énergivore

A lire aussi : Gaz, électricité : ce qu’il faut savoir avant de changer de fournisseur
Un réfrigérateur typique consomme environ 200 kWh/an ;
réfrigérateur-congélateur entre 200 (classe A+) et 500 kWh/an (classe D) – c’est généralement moins de deux appareils séparés ;
5/ Je place le réfrigérateur loin des sources de chaleur

Les grands réfrigérateurs américains consomment jusqu’à 800 kWh/an ! Cela représente une facture d’environ 15 à 125 € par an.
Pour assurer sa longévité et réduire sa consommation, plusieurs précautions sont à prendre :
Placez-le loin des radiateurs ou des fours (même si ces derniers, pour la plupart des modernes, dégagent moins de chaleur qu’auparavant). Le réfrigérateur refroidit à température ambiante. Il aura plus de « travail » à faire dans une pièce à 23° qu’à 18°. Cela peut entraîner une augmentation de la consommation jusqu’à 30 %.
6/ J’entretiens mon réfrigérateur régulièrement
Vous pouvez également installer des plaques isolantes entre ces appareils, et éviter les emplacements très ensoleillés dans la cuisine.
Le dégivrage et le nettoyage de la grille arrière du réfrigérateur sont nécessaires pour assurer une bonne circulation de l’air. Chaque demi-centimètre de givre sur les murs entraîne une surconsommation de 30 %. La fonte moyenne tous les mois ou avant la calotte glaciaire atteint 2 à 3 mm.
7/ Malin: je décongèle dans mon frigo!
Lisez aussi : Rangement du réfrigérateur : Astuces pour économiser de l’espace et de la cuisine : 10 astuces pour que grand-mère brille !
8/ Pas de cartons d’emballage dans mon réfrigérateur
Une petite astuce consiste à mettre les produits du congélateur au frigo plutôt qu’à l’extérieur. Bien sûr, c’est plus long et il faut d’abord y penser. Cependant, le dégivrage du produit peut refroidir le compartiment réfrigérateur et limiter la consommation de l’appareil.
C’est très simple, mais on ne le dira jamais assez : enlever les emballages en carton (yaourt, compote, petites bouteilles ou canettes, etc.) permet une meilleure circulation de l’air froid dans le compartiment réfrigérateur et améliore ainsi l’efficacité.
Qui est responsable de la pollution numérique ?
A lire aussi : Forfaits internet et téléphone… 5 trucs pour baisser ses factures et faire de vraies économies !
La pollution numérique est une conséquence directe de notre utilisation des nouvelles technologies. Il s’avère que votre objet connecté n’émet aucune pollution visible lors de sa fabrication, de son utilisation et de sa fin de vie, mais émet des émissions de CO2 importantes.
Comment le numérique pollue l’environnement ?
Quel est le numérique le plus polluant ? La pollution du streaming numérique La consommation mondiale de vidéo en streaming émet 300 millions de tonnes de COâ dans le monde chaque année [16]. Cela correspond à la pollution numérique dans un pays comme l’Espagne ! Regarder une heure de vidéo consomme autant d’électricité qu’un réfrigérateur en un an [17].
Comment calculer consommation TV ?
Le numérique représente 4% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Et ce chiffre devrait doubler d’ici 2025. Début 2018, l’ONG Greenpeace observait que 50 % de l’approvisionnement en électricité d’AWS reposait sur des énergies fossiles, tandis que 17 % reposaient sur des énergies renouvelables.
Pour calculer la consommation d’un téléviseur, il faut multiplier la puissance nécessaire à son fonctionnement, exprimée en watts (W), par la durée d’utilisation annuelle et diviser le total par 1000 pour obtenir des kilowattheures (kWh).